Les véhicules électriques ne sont plus le nouveau jouet de l’heure. En fait, leur invention remonte aux années 1800. Bien que les véhicules électriques gagnent en popularité et qu’ils existent depuis longtemps, la plupart des Canadien·ne·s qui envisagent d’acheter un VE ont peu de connaissances à ce sujet.
Avec autant d’options sur le marché et de nouveaux acronymes à retenir, il n’est pas surprenant qu’il y ait autant de confusion.
Les clients connaissent-ils les différents véhicules électriques?
Nous avons mis à l’épreuve 1000 Canadien·ne·s en leur demandant d’associer un type de véhicule électrique avec sa définition correspondante.
Qu’en est-il ressorti? Une majorité a échoué au test!
Il est alarmant de constater que 67 % des acheteur·euse·s ne comprennent pas bien la différence entre les véhicules électriques à batterie (VEB), les véhicules électriques hybrides rechargeables (VEHR) et les véhicules électriques hybrides (VEH). Les différences entre les VEHR et les VEH ont suscité le plus de confusion auprès des répondants.
Ce sont probablement les acheteur·euse·s de VE qui ont déjà fait affaire avec nous qui ont une meilleure compréhension des options qui leur sont offertes. Leur enthousiasme précoce pour les VE tend à s’accompagner d’un niveau de recherche plus élevé.
La prochaine vague d’acheteur·euse·s de VE ne sera pas aussi bien préparée. La plupart des personnes qui ont répondu au test nous ont dit qu’elles considéraient un VE pour leur prochain véhicule, mais il est peu probable qu’elles sachent quelle option convient le mieux à leur mode de vie.
Alors, comment pouvez-vous vous assurer de maintenir l’intérêt pour les VE sans qu’il soit effacé par un trop grand éventail de choix et un jargon qui porte à confusion?
Éduquer pour mieux vendre
Voici une occasion unique d’intervenir et d’éduquer vos client·e·s. Des explications courtes et simples sur chaque type de véhicule, y compris leurs avantages et leurs inconvénients, peuvent aider vos client·e·s à se sentir plus en confiance.
De plus, il n’y a pas de mal à commencer avant qu’ils ou elles ne vous contactent à ce sujet. Si la majorité de votre clientèle n’en connaît pas beaucoup sur les VE, pourquoi ne pas être la personne qui les éclaire? Cela peut se faire simplement, par l’entremise d’un courriel informatif, par exemple. Comme nous l’avons mentionné dans l’article sur le service à la clientèle, vos client·e·s veulent avoir de vos nouvelles au moins tous les deux mois.
Recevoir de l’information de la part de spécialistes comme vous peut être le coup de pouce dont votre client·e a besoin pour être prêt·e à venir vous voir. Plus votre équipe est informée sur les VE, plus les client·e·s se sentiront rassuré·e·s et vous feront confiance pour les aider à prendre la bonne décision.